[Zahit] Le Clan Zahit.

"Les clans du désert de Farath ne savent même pas eux même quand ils sont apparu, ils étaient probablement des groupes nomades qui décidèrent de se sédentariser. La première apparition écrite de l’histoire des Zahit remonte au légende du dieu Alkar, cent années avant l’Union. D’après les écrits, le clan fut ravagé par les démons de l’Inférieur et les survivants furent enlever jusqu’aux profondeurs brûlantes. Le guerrier pourfendeur les tira des griffes de la mort.

Depuis ce jour, le clan ne fit plus parler de lui. Quand l’Union Kalaout apparu, 1201 ans avant le Cataclysme, le mot Zahit réapparu dans la déclaration d’unification. On entendit par la suite que les armées Kalandar se faisaient éparpiller par la tribu de la première ligne Kalaout. Outre le fait que le clan ne fit qu’élargir les frontières du Sultanat, on entendit dans plusieurs vieux récits Kalandar le nom d’une cité imprenable de par ses murailles mais également par ses garnisons surentrainé et nombreuse. Bien que la tactique de ces légions n’égalait au combat celle des Kalandar, personne ne pouvait surpasser rien qu’un seul de ces guerriers Zahit. El’Zahim. C’est ainsi quelle était appelé. Ces murailles étaient intouchables, la richesse insurmontable, la santé des citoyens était plus que correcte.

On raconte que le premier Zahit à avoir été nommé Emir d’El’Zahim se produit beaucoup plus tard que toute les autre cité, seul son nom de ligné reste connu, Fanyisan. Seul une estimation récente de son corps situé dans la crypte d’El’Zahim a permis à estimer qu’il dirigea son armée trois siècle avant la première ligné.

El’Zahim fut jusqu’en mille-deux-cent après l’Union la première ligne Kalaout, jusqu’à la prise du bastion de Gedille. La bataille fut certainement la plus marquante de l’armée Zahit. Encerclés les Kalandar sur leur front Sud et Est, les attaquant furent également confronté – aussi étonnant que cela puisse paraitre – par un cessés le feu avec le chef de clan Katar Grajak Jiolano qui luttait depuis si longtemps avec les Kalandar et les Kalaout sur le front Ouest. Il prit d’assaut les Zahit et toute retraite fut anéantie. Epuisé, en sous nombre, sans vivre ni eau. La neige et le givre couvrait les plaines du Jimad. Les chiffres des Kalandar annonçaient cinq-cent troupe Kalaout restante. Aucun renfort ne fut attendu par le Sud. Ils allaient devoir tenir face à plus de deux-mille hommes Kalandar et Katar. On raconta quelque semaine plus tard que fut exterminée l’armée Zahit. Cependant, aussi étonnant que cela pus paraitre, au lieu de suivre leur tactique de charge destructrice, ils s’éparpillèrent durant une nuit tout autour des murailles du bastion et grimpèrent exterminer comme des assassins les troupes de Gebille. Le fort fut entre leur main, mais le tenir revenait au miracle. Personne ne sais encore exactement comment que les Zahit réussir leur coup, mais alors que les armées ennemies s’apprêtait à pénétrer dans le bastion. Des explosions firent retourner les champs de bataille en poussière. Les rapports Kalandar expliquait la présence de Creepers sous le sol, et les Zahit se serait sacrifier pour permettre tous cela. Le nid de Creepers était inséré sous le Bastion depuis des années. Des récits annoncèrent le retour de six hommes. Ils furent sortis des décombres par les paysans des environs. Cinq étaient Zahit, quatre moururent de leur blessure quelque jour plus tard. Le dernier survivant voulu, au nom de ses camarades, faire de cette victoire une fête nationale. Le Bastion fut réquisitionné par les armées Kalaout du clan des Tarn, venant tout droit d’El’Tarnak. Les Zahit devinrent le symbole de la résistance dans le désert de Farath, mais leur victoire ne parvint jamais les oreilles du Sultanat. Le Cataclysme balaya, deux mois plus-tard, les contrés d’Eawah. El’Zahim fut l’une des rares cités à survivre au tsunami. Durant cinquante ans, les Zahit tentèrent de retrouver des traces du Sultanat Kalaout, cependant, ils étaient tous bonnement détruit. L’ancien Emir Hakamir reprit le flambeau perdu des Kalaout. Ainsi naquit le Sultanat Zahit. Le symbole d’Alkar est devenu l’emblème de ce peuple, « le courage nous permis la survie, la survie nous permet la croyance. Alkar nous a sauvés des griffes des légions ténébreuses de la mort. Nous lui devons la vie ! » Annonça-t-il quelque jour après la création du Sultanat. Aujourd’hui, c’est son descendant, du même nom Hakamir, qui dirige la cité d’El’Zahim et tout le Sultanat Zahit. Hakamir a pour but le plus profond de préservé la vie humaine et de la faune. La nature a réussi à neutraliser tant d’homme que le respect envers elle se doit d’être absolu. Il est le quatrième représentant de la quatrième ligné, « nous somme en quatrième ligné 130, l’avenir se jouera continuellement, que ce soit entre mes mains ou celle de mes descendants, et jamais nous ne réussirons à savoir ce qu’il nous montrera au moment venu » annonça Valik Yeyou à la naissance de son fils Hakamir. "

Ferendis Soulahine, explorateur de la fresque noir.